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La chasse aux papillons

Neutraliser les ouragans

Reprenons le principe de « l’effet papillon », selon lequel un battement d’ailes de papillon peut créer un ouragan plus tard dans le temps. Imaginons que nous remontions le temps d’une dizaine de jours pour retrouver l’infime premier vortex qui va créer le futur monstre météorologique. Il se trouve qu’une grande partie des ouragans trouve son origine dans la région au large du Cap vert. Serait-il envisageable qu’une modification des conditions initiales générales dans cette région puisse avoir un effet sur l’ensemble du système ? Par exemple, une turbine surpuissante ou des éoliennes géantes pourraient-elles perturber le début du cycle d’un vortex? Leurs hélices pourraient tourner soit dans le sens cyclonique pour transformer les ouragans en tempêtes tropicales (par répartition de la charge thermique océanique) soit dans le sens anticycloniques pour en atténuer les effets.

La Force de la Pensée

Lorsque nous avons une pensée, il est possible d’agir via nos nerfs sur notre environnement avec nos muscles comme actuateurs. Si nous voulons frapper, notre volonté permet d’assener un coup avec notre bras, si nous voulons échanger avec nos semblables, nous allons moduler notre voix via les muscles du larynx. Mais pourrions-nous activer une action par notre seule pensée ? Biologiquement, l’activation d’une force physicochimique ou électromagnétique est possible, mais elle est infinitésimale en comparaison aux efforts précédemment évoqués. Toutefois, certains processus majeurs peuvent s’amorcer ainsi. Avec un certain état de concentration avancé, nous pourrions imaginer diriger une mouche ou briser du verre. La Théorie du Professeur Masaru Emoto, – qui a étudié la corrélation entre nos pensées et la cristallisation différentiée des molécules d’eau – nous en fournit la preuve. La force nécessaire pour amorcer la formation d’un cristal est infinitésimale et donc du même ordre de grandeur que celle produite par nos émotions.